Bienvenidos a todos

Hola a todos:

Este blog acaba de ponerse en marcha y renace con el fin de abrir fronteras a través del mundo de las lenguas y las culturas.

Día a día la facilidad del transporte, las necesidades económicas o los intereses personales llevan a millones de personas a viajar y trasladarse a un país extranjero. El resultado de eso es el nacimiento de sociedades multiétnicas que piden a gritos la comprensión mutua hacia aquello que es ajeno, diferente.

Son muchos los que dicen que el hecho de estudiar idiomas y viajar a otros países nos ayuda a abrir la mente, así que este blog tiene como objetivo colaborar y fomentar el estudio de otras lenguas y culturas para aquellos que se animen a conocer a sus semejantes acercándose a su mundo, a su cultura, a su lengua.

Aportando un granito de arena,

Shelmiket

lunes, 23 de marzo de 2020

MITOS Y REALIDADES DEL CORONAVIRUS


LA LIBERTAD DE EXPRESIÓN

ANTES Y DESPUÉS DE 1789 HASTA HOY EN DÍA



lunes, 16 de marzo de 2020

LA CENSURA EN VENEZUELA

Maduro impone más censura en línea para Venezuela, 3 julio 2018

viernes, 2 de diciembre de 2011

Le besoin des langues étrangères dans un monde globalisé

Dans un monde globalisé comme le nôtre, les langues deviennent de plus en plus importantes. Les langues sont une ouverture de la société, des esprits, de l’individu, des frontières, d’une économie globalisée, et même de la pédagogie.
Comme remarque la Commission de communautés européennes (COM 2005), il ne suffit pas de connaître la langue dite international, à présent l’anglais. Il faut apprendre « aux moins deux langues autres que sa langue maternelle ». Selon F. Armand, D. Dagenais et L. Nicollin en citant  Candelier la « limitation à une seule langue dominante (comme à deux langues dominantes) est également susceptible d’avoir des « effets potentiellement néfastes dans la mesure où elle risque de renforcer la dépréciation des langues qui n’ont pas le privilège d’être enseignées » (Candelier, 2003a, p. 24). » (F. Armand, D. Dagenais, L. Nicollin, p.56)
De plus, la migration a donné lieu à des sociétés de plus en plus diverses et multilingues où l’Enseignement-Apprentissage (E/A) des langues étrangères devient la clé pour la compréhension et la tolérance. Ces besoins nous obligent à rénover la formation des langues, donc la formation de professeurs qui doit mettre toujours en question les méthodes d’enseignement.
 La valeur de la langue
La langue est ce qui différencie les êtres humains des autres êtres vivants, donc elle contribue à faire de l'être humain un être raisonnable. Javier J.Suso définit la langue comme: «un comportement acquis naturellement par l’enfant »; « un savoir-faire individuel, ou une compétence individuelle, (agendum, energeia), dérivée d’une conception de la langue comme quelque chose qui est vivant, et qui vit d’une façon différente dans chacun, dont la mise en fonctionnement implique tout son être, sa personnalité, son savoir ... (Humboldt, générativisme) » (Javier J.Suso, 2004, ch. 6)
En outre, la langue est un outil qui facilite la recherche d'information de travail. C'est une valeur qui « confère à l’individu une reconnaissance sociale et un prestige indéniable, mais aussi c’est un puissant atout pour toute réussite professionnelle... (Sociolinguistique). » (Javier J.Suso, 2004, ch. 6)
La langue est un moyen d'intégration qui contribue à l'ouverture aux autres, à ce qui est différent, mais aussi un moyen d'exclusion, d'isolement de la société, car la langue est un moyen de « communication sociale (interpersonnelle) et d’interaction entre les membres d’une communauté... (pragmatique) » ; c'est « un usage social, déterminé par des règles sociales qui établissent ce qui est approprié dans chaque situation de communication (sociolinguistique) » (Javier J.Suso, 2004, ch. 6)
La Langue Française (LFr)
Au cours de l’histoire la LFr a été la langue qui donnait accès à la culture. C’est la langue de la philosophie, la littérature... Elle a été aussi considérée comme une langue « des élites du XVII au XX siècle. » (Javier J.Suso, 2009, p.81).
La LFr a commencé à prendre de l’importance lors de l’arrivée de François I, qui  a apporté d’Italie la culture de la Renaissance. À partir de ce moment, la culture française va prendre un nouveau parcours : les forteresses ont été transformées en châteaux luxueux ; la courtoisie était à la mode ; la langue culte est devenue une marque de noblesse. Cette mode de la langue culte a permis la création des salons littéraires, qui vont prendre plus d’importante au XVII siècle.
Il est évident que l’histoire de la LFr nous offre assez de raisons pour justifier sa place dans le monde de l’enseignement des langues. Bien que l’anglais soit au premier rang, la LFr, conjointement à l’allemand, est la Langue Étrangère Seconde (LE2) la plus étudiée au monde, pour des raisons historiques, mais grâce aussi à la francophonie, c’est à dire, au nombre de pays où le français est parlé comme Langue Maternelle (LM), Langue Co-officielle  ou Langue Cible.
Langue, culture et société
En général, la langue est considérée comme un instrument de communication, mais « avant d’être un instrument de communication, la langue est le vecteur privilégié de la culture. » (Gaouaou, 2009, p.213). La langue et la culture ont toujours eu une relation directe, en dépendant l’une de l’autre. La « langue matérialise la culture en la rendant active, elle assure sa mise en mouvement et c’est du côté de l’activité sociale que la langue acquiert sa pertinence. » (Gaouaou, 2009, p.211) et «  c’est à travers les mots qu’on découvre les valeurs des peuples et c’est la langue qui concrétise la pensée. » (Gaouaou, 2009, p.211).
De sorte que la langue et la culture sont étroitement liées, pour arriver à la compréhension et à la tolérance des autres, il faut apprendre la langue et la culture en même temps. Donc, lorsqu’on parle d’apprentissage de langues c’est toujours en faisant référence à l’apprentissage de la culture comme un élément essentiel qui fait partie de cet apprentissage.
La langue chez l’individu
«Les langues appartiennent au patrimoine de l’humanité » et « ne sont pas uniquement des outils commerciaux mais sont également porteuses "d’identités, de valeurs et de sens" » (Déclaration de Vienne, 2006, p 1)
Comme j’ai déjà dit ci-dessus « la langue est l’expression la plus directe de la culture », il faut remarquer qu’en plus la langue « fait de nous des êtres humains et nous donne un sentiment d’identité. » (COM, 2005, p.3). L’apprentissage de langues fait réfléchir les individus et d’habitude ils deviennent critiques de leur propre culture. Cette mise en question de leur culture donne lieu à une nouvelle conception de soi, c’est à dire, une nouvelle identité, marquée par la réflexion à travers les langues et les cultures. Selon F. Armand, D. Dagenais et L. Nicollin « Tout au long de l’histoire de l’humanité, les questions de langues ont été, de près ou de loin, liées à des enjeux de définitions identitaires, de relations interethniques et d’établissement de rapports de domination. ».
Dans la vie quotidienne des citoyens, les langues sont de plus en plus présentes soit chez eux, soit au travail. F. Armand, D. Dagenais et L. Nicollin ont remarqué que l’individu « « utilise la langue pour satisfaire ses besoins personnels, scolaires et sociaux» ».
Un des points importants des langues que souligne la déclaration de Vienne, c’est que « l’apprentissage des langues est un élément fondamental de la formation et du développement des fonctions cognitives aussi bien que de l’individu comme citoyen du monde. »
Les individus qui font des études de langues ne vieillissent pas très rapidement, car les langues nous obligent à avoir une activité cérébrale constante. De plus, les capacités de compréhension et de tolérance qui se développent chez les étudiants de langues leur permettent de rester plus proches des nouvelles générations grâce à l’ouverture de l’esprit envers les autres et tout ce qui est nouveau pour l’individu.
En général, les étudiants qui éprouvent un vrai plaisir à étudier et à parler les langues sont ceux qui font preuve d’intérêt pour ce qui est différent. Ils sont capables de voir dans d’autres cultures, donc d’autres individus, des éléments insignifiants, mais en même temps fort intéressants. De plus,  le développement des Technologies de l’Information et de la Communication (TICs) offre à l’individu l’opportunité d’avoir accès à l’information illimitée dans toutes les langues existantes au monde, et facilite la communication avec autrui. Et le développement des moyens de transport rend plus facile en même temps les voyages à l’étranger pour faire du tourisme, pour étudier, mais aussi pour développer le commerce international.

lunes, 28 de noviembre de 2011

Qué bueno!!!!

Gracias a la comunidad de TodoELE me he reencontrado con mi primer intento de blog. Es increíble. Me ayudó a crearlo una persona a la que tengo mucho cariño y a la que admiro como profesional.

Aún no lo puedo creer. Bueno espero que después de este reencuentro pueda poco a poco ponerlo en marcha.

Puede parecer una tontería, pero me ha alegrado la noche.

¿GENERACIÓN QUÉ?

Día a día vemos, leemos, escuchamos y hablamos sobre los problemas que nos rodean. Problemas que a nosotros, los más jóvenes, nos afectan especialmente. Aquellos que está bien situados, que tienen un buen puesto de trabajo, se han hartado de decir que los jóvenes de hoy no queremos trabajar, que nos lo han dado todo en bandeja y que no sabemos ni lo que queremos.

Sin embargo, hoy por hoy somos muchos los que día a día luchamos por no ser una carga para nuestros padres, por tener un trabajo digno y que se adapte a nuestra formación, y que además mataríamos  por tener un trabajo como el que tienen muchos de los que nos critican.

En ese día a día nos topamos con artículos de periódico que nos ponen los pelos de punta, que nos llegan al alma, que nos sacan incluso una lágrimita  Desafortunadamente no son lágrimas de felicidad, de alegría, más bien al contrario son lágrimas de añoranza, de impotencia, de indignación...

Somos una generación que nació en un momento histórico de progreso. Año a año veíamos como las cosas mejoraban a nuestro alrededor. Pasamos de beber Revoltosa a beber Cocacola. De comer yogures a punto de caducar a los famosos Petis. Nosotros también vimos esos cambios.

Afortunadamente hemos tenido la oportunidad de elegir. Algunos optaron en su momento por trabajar y tener una familia. Otros optamos por la universidad, una vía prometedora que además para muchos de nuestros padres era todo un logro. A base de esfuerzo y sacrificio habían logrado para sus hijos lo que tanto soñaban.

Tras esos años de bonanza, se ocultaba la cara oscura de nuestro presente, un presente que no hemos elegido. Muy pocos pensaron que eso no iba a durar eternamente. Todavía recuerdo las palabras de un profesor del instituto que nos decía que éramos una generación que iba a tener que cambiar de trabajo estable de cuatro a cinco veces. Éramos pocos los que lo escuchábamos pero a mí no se me olvidan esas palabras. Cada vez que leo sobre los problemas a los que se enfrenta la juventud, me vienen a la mente esas palabras.

Después de años de estudio y de sufrir los cambios del sistema educativo salimos a un mercado laboral que no se acerca ni un ápice con lo que esperábamos. Vemos que tantos años en la universidad no se valoran, que lo que en realidad cuenta es la experiencia, de la formación ni se acuerdan. Competimos con gente que lleva años trabajando por lo que acabamos cogiendo contratos basura para poder estar a la altura pero eso no es suficiente. Ahora nos piden idiomas.

Con el objetivo de completar nuestro curriculum y de mejorar el idioma buscamos los medios para irnos al extranjero a trabajar. Es allí donde nos damos cuenta de nuestra realidad. España está muy lejos de ofrecernos un futuro. Queremos volver pero no podemos sobrevivir con un sueldo de 500€. No pedimos mucho, un sueldo de unos 1000€ pero esa cifra para un español es un privilegio.

No somos chaqueteros que se largan de España porque sí. Somos una generación que está cansada de apodos. Ya basta de intentar darnos un nombre: los nini, la fuga de cerebros, la generación perdida, ¿Cuál será el próximo?

miércoles, 23 de noviembre de 2011

TRABALENGUAS / VIRELANGUES

                                                       PRONUNCIAR / PRONONCER

 TRABALENGUAS  


Para trabajar la pronunciación no hay nada mejor que los famosos trabalenguas, un elemento cultural que no podemos olvidar, pues siempre nos hacen reír y eso nos va ayudar a romper con la rutina y a hacer algo diferente, dinámico y divertido.


1. El perro de San Roque no tiene rabo
 porque Ramón Rámirez se lo ha cortado.

2. Pablito clavo un clavito
¿Qué clavito clavó Pablito?

3. El que poco coco come,
poco coco compra.
Y el que poco coco compra,
poco coco come.
                                                                                 
4. El cielo está enladrillado
 ¿Quién lo desenladrillará?
El desenladrillador que lo desenladrille
 buen desenladrillador será.
     
5. Tres tristes tigres comen trigo en trigal
¿Cuántos tristes tigres comen trigo en un trigal?
Tres                                                    

6. Si tu gusto gustara del gusto
que gusta a mi gusto,
los dos gustaríamos del mismo gusto.
Pero como tu gusto no gusta del gusto
que gusta a mi gusto.
Menudo disgusto se lleva mi gusto
al saber que tu gusto no gusta del gusto
que gusta  a mi gusto.

  VIRELANGUES  

Il n'y a rien comme les virelangues pour travailler la prononciation. Les virelangues sont un élèment culturel à ne pas oublier dans un tiroir. Ils nous font éclater de rire dans tous les ocassions et donc ils vont nous aider à changer l'ambience et la routine dans nos salles de cours.

1. Un chasseur sachant chasser sans son chien est un bon chasser.

2. Si six cents scies scient six cents saucisses,
six cents scies scieront six cents saucissons.

3. Natacha, n'attacha pas son chat, Pacha, qui échappa.
 Cela facha Sacha qui chassa Pacha.

4. Tatie, Ton thé t'a-t-il ôté ta toux?,
disait la tortue au tatou.
Mais pas du tout,
dit le tatou,
je tousse tant que l'on m'entend
de Tahiti à Tombouctou

5. Une vache brune bondit et badine
 avec son petit veau brun

6. Lulu lit la lettre lue à Lili
et Lola alla à Lille
où Lala lieles lilas.

viernes, 11 de noviembre de 2011

El rol de una auxiliar de conversación y problemas que se plantean

Hace un mes que he comenzado en mi nuevo trabajo como auxiliar de conversación en Francia y me he dado cuenta de que muchos profesores no saben cuál es el rol de la auxiliar de conversación y no saben muy bien que tareas adjudicarles.

Al principio llegué con la idea de que mi rol era trabajar la expresión oral ante todo, pero los profesores a veces me piden que sea yo quien hable para que los alumnos se acostumbren a diferentes acentos. Y es en ese momento cuando me pregunto ¿eso no lo hacen normalmente con audios, vídeos y durante toda la clase a través de las indicaciones que les voy dando para realizar la tarea del día?

A parte de eso me encuentro con problemas de falta de información. En muchos casos no sé muy bien lo que están haciendo con sus profesores. A veces antes de entrar en clase me comentan algo vagamente y con eso yo me tengo que hacer una idea de qué hacen, qué nivel tienen...¿acaso eso es suficiente?

Quizás peque de perfeccionista, de tiquismiquis, de exigente pero si tenemos en cuenta de que no tienen una programación previa que consultar al comienzo del curso , pues ya se pueden hacer una idea lo complicado que es preparar una clase que se adapte al perfil y a las necesidades del alumno.

Espero que aquellos profesores que lean esta entrada tomen en cuenta mi experiencia a la hora de trabajar con una auxiliar de conversación. Trabajo con varios profesores y puedo ver la diferencia entre unos y otros y la verdad se agradece cuando te dejan todas las cosas  claras sin necesidad de acribíllarlos a preguntas.

lunes, 24 de octubre de 2011

JCLIC en el aula ELE

Buenos días a todos,
Tengo el placer de compartir con ustedes mi primera publicación oficial como profesora de ELE. Espero les guste y me dejen su opinión en el blog.

Gracias a todos los que me leen y los que recién llegan los invito a participar y a formar parte de este blog.

Aqui les paso el enlace:
http://formacion-profesores-ele.delengua.es/recursos-ele/las-tic-en-el-aula-ele/jclic-en-el-aula-ele

sábado, 16 de julio de 2011

JUGANDO SE APRENDE MEJOR

Por todos es conocido que la rutina mata cualquier tipo de interés incluso la de aquellos que más se aman así que porque hemos de someter a nuestros alumnos a largas y pesadas explicaciones de gramática o de historia cuando lo podemos hacer jugando. Despertar el interés de nuestros alumnos por la lengua debe ser nuestro principal objetivo, pues una vez alcanzado el alumno se prestará con mayor facilidad a colaborar y trabajar en clase e incluso en casa cuando sea necesario.

Hace tiempo una de mis alumnas me pidió jugar al Quiz y yo gustosa me puse manos a la obra para elaborar el material necesario y organizar una actividad nocturna para jugar con toda la escuela. De ahí que el Quiz que os voy a presentar se adapte a todos los niveles. Mi fuente de inspiración han sido juegos de mesa como el Trivial, Cifras y Letras, Tabú, Gestos. Para adaptarlo al aula ELE introduje elementos culturales, gramaticales y del lenguaje familiar que hacen de este juego un completo repaso de todo aquello se estudia en el aula ELE, pero no podía olvidarme de aquello que no se estudia sino que se aprende a pie de calle (Expresiones familiares, insultos...).

El Quiz presenta diferentes tipos de actividades (Imitar, dibujar, explicar, preguntar...) y las reglas varían en función del color, tratando de obtener un juego entretenido al que todos pueden jugar. En el documento adjunto podrán leer las reglas que establecí en función de las necesidades del momento, pero está claro que estás reglas se podrán adaptar al alumnado con el que vayamos a jugar.


Disfruten del juego y comenten su experiencia con él u con otros tipos de juegos en el aula de lengua extranjera.

Un saludo,
Ana Berenguel, alias Shelmiket

QUIZ ELE

Los castillos del Loira

Los castillos del Loira
Amboise